ÉLÉMENTS BIOGRAPHIQUES

mécanique articulaire

[chondropraxie]

 

Marc Digonnet – Viallat a vécu un temps en Afrique Noire. Avant, il avait été O.S. dans la métallurgie et dans la plasturgie, …, un peu plus tard chanteur. Le rassemblement de sa vie qui transgressait les étiquettes était peu lisible, il préfère l’éclatement et la pluridisciplinarité, ce qui lui réussit plutôt bien.

 

Diplômé des facultés de Strasbourg, Caen et Paris VIII, en philosophie, en anthropologie, en théologie, il se définit comme anthropologue.

Il a pratiqué le management stratégique organisationnel et l’accompagnement stratégique de projets en entreprises publiques et privées.

Depuis 2005, année de naissance d’un enfant sourd qui lui a apporté un autre mode de saisir le monde, il a remplacé le management par l’écriture. S’il a toujours pratiqué trois métiers de front, le troisième a longtemps été l’enseignement en formation initiale et continue.

Il est le concepteur et, fatalement, le premier professionnel à avoir pratiqué l’activité de mécanique articulaire qu’il exerce actuellement à Lyon et à Coubon. Cette activité, il l’a commencée en 1974.

Son solide bagage en sciences humaines lui a permis, au bout d’une vingtaine d’années de pratique, de théoriser son mode de soin et, à partir de là, d’élargir très sensiblement le champ de sa pratique de la mécanique articulaire.

 

Il compte travailler tard dans la vie. Comme les nuits, très tard. Il aime profondément le métier qu’il s’est patiemment inventé. Si sa santé le lui permet, il ne s’arrêtera pas. Ses proches disent qu’il ne sait pas ne rien faire, il estime, lui, ne pas savoir ne rien être.

 

TROIS METIERS

Transmission

Il a longtemps enseigné en formation initiale, en formation continue, et la pédagogie travaille encore son existence dans le cadre de la transmission du métier de chondropracteur/trice.

Démarche artistique

Œuvres pour la jeunesse, paroles, chansons, albums, romans, essais. Un essai est disponible, concernant le métier de mécanique articulaire : CHONDROPRAXIE, essai sur la réparation articulaire, 2017.

Mécanique articulaire

La mécanique articulaire restera comme le deuxième poumon de sa vie, le premier étant – à égalité – l’écriture.

Il affirmerait certainement avoir consacré sa vie entière aux deux activités, jusqu’au bout de la liberté, jusqu’au bout de la fatigue, jusqu’au bout de la recherche d’une forme de perfection et d’élégance, même si, pour se nourrir, d’autres professions l’ont traversé.

Il dit volontiers qu’il n’aurait pas eu autant de patience en mécanique articulaire (lente maturation de la conception et relatif isolement)  s’il n’avait pas eu parallèlement la création artistique, hyper ventilée, ouverte.

 

UNE ESTHÉTIQUE D’EXISTENCE

Il revendique une forme d’équilibre, précaire, mais équilibre tout de même, entre ses activités et sa vie de famille, entre sa recherche permanente et le temps des loisirs, des rencontres, des investissements associatifs.

Il est une vie en libre cours, au ras des pâquerettes, sans regret du passé, sans trop d’anticipation, présent le plus souvent possible à la vie à la mesure de sa capacité à la saisir.